Pour étudier les évolutions des domaines vitaux des meutes de loups, la télémétrie est le plus souvent utilisée. Cependant, en raison du coût élevé et de la logistique nécessaire, déployer cette technique à grande échelle n’est pas envisageable. Au contraire, la collecte d’excréments (génétique non-invasive) permet d’aborder ces aspects spatiaux plus facilement. Retour sur le suivi spatial de trois meutes du Queyras et de l’Ubaye.
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2011-N25_indices.de.presence;domaine.vital;meute.pdf